Une culasse de GPZ550 de 1978, bien encrassée !

A défaut de lève-soupapes, les cuvettes de maintien peuvent être extraites à l'aide d'un mandrin monté sur une perceuse à colonne. C'est simple et pas cher :


Les soupapes, une fois démontées, se révèlent être en bon état (en noir, soupapes d'admission, en blanc, soupapes d'échappement). Queues un peu matées, portées propres quoiqu'un peu larges. On se décrasse tout ça cette semaine !

La dépose des soupapes révèle aussi deux vilains défauts de fonderie sur l'ensemble des conduits d'admission : la réunion du conduit issu de fonderie et du conduit usiné à proximité du siège de soupapes se fait sur un angle, et les sièges ne sont pas centrés, créant ainsi deux "marches d'escalier" successives. A rectifier !